"Beau comme une prison qui brule"
foto 1 di David Metra, testo e foto 2 di Julie
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Les centres de retentions administrative de Vincennes, CRA1 et CRA2 brulent le 22 juin2008. L’ensemble des 2 batiments faisait de ce centre le plus grand de France.
Les relations entre les détenus admistratifs et l’extérieur ont permisde savoir à plus forte raison ce qui ce passait à l’intérieur.Plusieurs collectifs se sont alors montés autours des CRA et énormément de témoignages en sont sorties et ont étés diffusés. Tabassage, maltraitance physique et verbale, humiliation, soins médicaux non distribué, intervention des CRS dans l’enceinte; la liste est longue de ce que subissent quotidiennement les détenus des centres de rétentions administratif.
Depuis l’été 2007, plusieurs fois par semaine des rassemblements on eu lieu devant le CRA de Vincennes.
Le 21 juin 2008, un homme de 41 ans décède dans le centre de Vincennes. La préfecture annonce un suicide, les détenus crient à l’assassinat. En réalité cet homme avait été maltraité et malade du coeur il nécéssitait de médicament, que ce jour là les surveillants ont refusés de lui donner. Le soir meme un rassemblement à lieu devant le CRA, mais trop peu nous avons très vite étés évacués. Une émeute commence à l’intérieur du centre de rétention et durera toute la nuit, ammenant l’intervention des CRS.
Le lendemain dimanche 22 juin 2008 à 15h30 nous n’étions que quelques personnes devant le CRA2 lorsque des flammes ont commencés à sortir par les fenetres.
A 16h30 les deux centres de rétentions brulaient. Nous étions alors des centaines dehors. Certe de la révolte, mais beaucoup de désespoir car autre qu’un geste de libération c’est aussi de l’auto-mutilation que de mettre le feu enfermé dans une cellule Plus de 50 personnes ont étés transportés à l’hospital, asphyxiés par la fumée, car retenu dans la cour entre les 2 batiments en feu. D’autre gazé dans le gymnase pour trouver les responsables. Transférés à minuit vers d’autres centres de rétentions, ces hommes sont sortis pleins de rage et de révolte, criant:“ LIBERTE”, “PIERRE PAR PIERRE, MUR PAR MUR NOUS DETRUIRONS LES CENTRES DE RETENTION”.
Dans les jours suivant une centaine de personnes ont étés libérés pour faute de procédure.
La lutte contre les centres de rétention continue
PIERRE PAR PIERRE, MUR PAR MUR NOUS DETRUIRONS LES CENTRES DE RETENTION.
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